Otchoz

Monsieur H. a des désirs d'avenir

vendredi, septembre 29

Marly Gomont - Kamini

Je rajoute rien, j'espère que je libérerai un peu de temps pour vous prochainement. Le beat est bon :

Libellés : Triste monde tragique

posted by Monsieur H at 13:12 14 comments

samedi, septembre 23

Ségolène Royal en chanson

C'est pas grand chose, c'est même assez moyen, mais la motivation me manque pour faire un argumentaire construit. Vous vous contenterez donc de la créativité des autres :

Par le groupe Classe Affaires

Libellés : Monsieur H a des désirs d'avenir

posted by Monsieur H at 17:47 4 comments

mardi, septembre 19

Norme sociale : protocole ou repère ?

Il est 10heures (*), et ce moment de la journée est, comme chacun sait, un temps fort dans le quotidien abruti d'un lycéen de base (et dans le quotidien de base d'un lycéen abruti de même): c'est la récré !
Comme à mon habitude je m'en vais retrouver des gens, parce qu'il faut bien montrer qu'on est pas seul au monde, même les jours où on préférerait s'emmurer plutôt que d'avoir à parler avec qui que ce soit. Oui mais la récré, c'est un grand moment de représentation sociale. Qu'on me croit ou qu'on me raille (**) il est mal vu de ne pas être dans sa meute. C'est en effet ce qui pousse les tocards les plus collants, vous savez ceux qu'on a rarement envie de voir, qui pour des raisons d'emploi du temps ne peut pas être dans son groupuscule, à venir vous parler, alors que même les gens que vous estimez vous voudriez les voir se taire (Toute ressemblance avec des événements ou des personnages réels serait, vraiment, mais alors vraiment, fortuite). Seul les plus désespérées des âmes en peines poussent le gag jusqu'à errer lamentablement 20 minutes durant avant de reprendre les cours. "A quoi bon vivre ?" peut-on lire sur leurs visages désespérés. Ce n'est pas ce qu'on peut lire sur mon visage désespéré, parce que je ne suis pas l'un d'entre eux. Sur ma face, les plus habiles lecteurs devinent quelque chose comme "mais pourquoi elle tient à me faire la bise ?".

Elle, c'est Jean-Robert, du moins c'est comme ça que j'appellerai ladite personne ici, pour des raisons évidentes. C'est parti pour 5 minutes de protocole, dont, honnêtement je me dispenserais bien. "Bonjour, bonjour" parfois, même moi, pourtant profondément sceptique, je m'aventure à un "ça va?" que je sais sans-réponse, tombé aux oubliettes. "C'est du protocole". Voila la conclusion que je tire à haute voix du pénible exercice des salutations adolescentes matinales quotidiennes. "Non, c'est de la politesse" dit Jean-Robert, qui sous une apparence de dinde (***) multicolore dissimule un réel tempérament de jeune à vocation intellectuelle.
Désarroi. Saluer les gens qu'on voit tous les jours dans des embrassades/empoignades interminables, n'est-ce qu'une perte de temps ? A vrai dire, les sociologues appellent ça des normes sociales acquises durant la socialisation et qui sont la traduction de valeurs. Je te dis bonjour, c'est une norme, parce que je te respecte, c'est une valeur. Je respecte la loi, c'est une norme, parce que je suis citoyen, c'est une valeur. Je vais à la messe tous les dimanches matin, c'est une norme, parce que j'ai la foi, c'est une valeur (et parce que j’ai que ça à faire et que je suis un peu bête, c’est une circonstance aggravante). Et ainsi de suite. Si l'individu ne respecte pas ces agissements, qui ne sont en fait que des règles de groupe, la société le punit : c'est la coercition. Je tue mon voisin, c'est un acte hors de la norme qui correspond à des valeurs inverses à celles de la société (la haine...), la société (l'Etat ici) me met en prison, c'est la coercition ; je ne rigole pas à tes blagues, c'est un acte qui n'est pas gentil, et en plus je refuse de te dire bonjour quand tu me tends la main, tu m'écartes de tes relations sociales, c'est la coercition.
Une fois ceci dit, qu'en concluons nous ? Pouvons nous nous passer de certaines normes ou non ? Suis-je condamné à répéter des milliers de fois les mêmes gestes chaque jour de mon existence ? Ou bien suis-je définitivement inapte à toute forme de vie sociale ?

(*) : Également valable pour celle de 4h
(**): les esprits acidulés et pétillants d'humour n'auront pas attendu ces notes pour se faire mentalement les blagues suivantes : "on me raille de chemin de fer" et sa variante "on me raille de cocaïne". Les plus taquins ont même osé "on me raille de Chine"
(***) Dinde (ici) : personnage de sexe féminin qui par son habillement et son comportement n'a pas peur du ridicule dans les regards lucides.

Libellés : Rien ne vaut ma vie, Triste monde tragique

posted by Monsieur H at 19:43 8 comments

Arnaud Montebourg porte-parole de Ségolène Royal

Beaucoup des lecteurs ici le savent, je suis assez militant. J'ai même pris ma carte au Parti Socialiste sachant que je ne pourrai pas voter aux élections nationales. Je vais même en théorie ce soir à une réunion, et j'en profite pour m'exprimer un peu sur le sujet, car comme dit le proverbe "Si Loic Le Meur le fait...": en novembre je voterai pour Ségolène Royal aux élections primaires du parti. Je pourrais arguer, je le ferai si vous m'y poussez, mais je pense que pour porter une parole, il n'y a pas mieux qu'un porte-parole. Je vous renvoie donc à un article publié par Arnaud Montebourg dans Libération qui vous expliquera peut être mieux que je ne le ferai jamais.

Les socialistes qui attaquent la favorite des sondages se trompent d'ennemi. Son programme, novateur et audacieux, est à même de rassembler toutes les gauches.

Royal, un nouvel alliage

Par Arnaud MONTEBOURGdéputé de Saône-et-Loire, porte-parole de Ségolène Royal.

Les attaques invraisemblables pleuvent sur Ségolène Royal, au point que Nicolas Sarkozy en fait désormais un point d'appui de son offensive contre elle. La gauche offre des armes au chef de l'UMP contre la seule candidate socialiste en mesure de le battre. Ceux qui nous ont conduits au 21 avril 2002 se rassembleraient-ils pour une nouvelle fois nous infliger le même résultat ?

Quels sont donc les reproches qui lui sont adressés ? Son prétendu vide ? Ceux qui portent ces attaques feraient bien de relire ses discours et ses déclarations depuis plusieurs mois.

Les militants du pays minier du Pas-de-Calais ont entendu Ségolène Royal, à Cambrin, rappeler dans son discours que «la gauche doit imposer la juste hiérarchie entre le capital et le travail et faire en sorte que le travail soit moins taxé que le capital». Ils ont applaudi à la phrase : «Nous ferons en sorte que le capitalisme financier soit mis sous contrôle et refuserons de laisser broyer les hommes et les femmes par la dynamique du libéralisme sauvage.»

La foule de Frangy-en-Bresse l'a également applaudie à l'idée de «la création d'un syndicalisme de masse pour rétablir le rapport de force, aujourd'hui totalement déséquilibré entre les dirigeants et les salariés». Elle ajoutait : «C'est l'intérêt bien compris du pays qu'un syndicalisme de masse oblige à la négociation collective. C'est dans les pays où les taux de syndicalisation sont les plus élevés qu'il y a moins de licenciements collectifs et qu'il est moins nécessaire de recourir à la grève pour être entendu.»

Ce ne sont, à l'évidence, pas les idées de Nicolas Sarkozy. Les positions de Ségolène Royal sont enracinées dans l'héritage du mouvement ouvrier et sa défense des droits sociaux, en s'inspirant d'expériences socialistes concluantes du nord de l'Europe. Elle cherche à renforcer le poids du syndicalisme et à modifier en profondeur les comportements des acteurs du capitalisme dérégulé ; elle cherche l'outil de réhabilitation du prix et de la valeur du travail dont elle a fait un élément central de son discours.

La candidate a en vérité ouvert le dossier épineux de la démocratie sociale. En évoquant l'adhésion obligatoire aux syndicats, que madame Thatcher en son temps avait réussi à briser, nous sommes là plus proches de l'antithatchérisme le plus ferme que des oeuvres tièdes de son successeur Tony Blair. J'ajouterais, non sans malice, que bien des socialistes qui ont voté non le 29 mai 2005 devraient s'y retrouver !

(...)

Sur les problèmes environnementaux, l'ancienne ministre de l'Environnement tient un langage à la hauteur de l'urgence planétaire, en faisant de la fin du pétrole le point central de la restructuration de l'ensemble des politiques publiques : «C'est une question de survie, l'environnement doit donc être intégré à toutes les décisions publiques et privées qui sont prises.» Elle prend le soin d'ajouter : «La protection de l'environnement est liée à la démocratie et à l'exigence de transparence. Tous les mensonges officiels que l'on a connus à propos du nuage de Tchernobyl, de l'amiante, des OGM, ont permis de ne pas remettre en cause des habitudes, des puissances financières, des rapports de force et des intérêts corporatifs. Quand il y aura la transparence totale et quand l'information scientifique sera donnée sur l'impact de la dégradation de l'environnement, sur la santé publique, alors les gens se bougeront, et les politiques prendront les bonnes décisions.» Ce sont là des propos auxquels Dominique Voynet n'aurait pas enlevé une virgule.

Voici comment Ségolène Royal construit pierre après pierre une synthèse originale des différentes gauches. Elle en fabrique un nouvel alliage, original, novateur et offensif, en rapport avec les besoins profonds de la société française. Les socialistes que nous étions avaient sous-traité, dans l'attelage cahotant de la gauche plurielle, aux autres partis de gauche des morceaux de l'appareillage idéologique des socialistes, peut-être par incapacité de regarder le monde tel qu'il était devenu. Le projet et le candidat socialiste de 2002 ne parlaient plus à quiconque, sauf au vide politique que le parti avait installé en lui-même. Voilà pourquoi la rénovation de la gauche passe par la nouvelle donne de Ségolène Royal. Celle-ci dépasse les anciennes contradictions de la gauche plurielle, les anciennes querelles qui appartiennent à la génération antérieure ainsi que les récents désaccords sur le TCE.

A Frangy, elle déclara : «Quels qu'aient été nos votes lors du référendum, nos raisons étaient voisines. Nous voulions les uns et les autres une Europe plus protectrice, plus citoyenne, plus sociale et plus politique. De l'Europe que nous voulons, à l'Europe telle qu'elle est, nous mesurons la distance et le travail qu'il reste à faire, mais c'est le rôle de l'idéal que d'aider à transformer le réel. Il n'est évidemment pas question, pour les socialistes, de soumettre à nouveau à la ratification un traité constitutionnel que le peuple français a rejeté. Notre projet prévoit de proposer l'élaboration d'un texte court, visant seulement à mieux organiser, démocratiser et responsabiliser les instances européennes. Il devra bien sûr, une fois négocié, être soumis à l'approbation du peuple.»

Ségolène Royal renvoie aux significations profondes de la victoire du non en 2005, laquelle exigeait que la démocratie exerce sa maîtrise sur le destin de notre société, et demandait à retrouver la force perdue du bulletin de vote face à l'emprise des marchés et de l'économie.

Dans les différents éléments d'identité de sa candidature ­ syndicalisme de masse, ordre juste, révolution démocratique, excellence environnementale ­, Ségolène Royal ouvre le chantier de la reconstruction du politique et cherche à organiser les retrouvailles avec la force d'agir sur la réalité.

Il est temps de se rassembler autour de cette nouvelle donne, à partir de nos propres convictions, sans en abandonner aucune, pour contribuer à la victoire d'une gauche enfin rénovée qui sera celle de toutes les gauches. Le temps nous presse et l'audace qui nous a manqués jusqu'ici est au rendez-vous. Rejoignez-nous.


Ca, c'est bien dit. Notez que j'ai coupé au milieu c'est pas parce que le texte me déplaisait, il est très bien et je vous invite à le lire sur le lien donné ci-avant, mais pour des raisons de lisibilité évidentes...
En parlant d'écologie on en parle ici, et en parlant des présidentiables socialistes, on parle de DSK ici (notez les propos sur l'université)

Libellés : Monsieur H a des désirs d'avenir

posted by Monsieur H at 17:23 9 comments

dimanche, septembre 17

2 milliards d'argent de poche, et moi et moi et moi

Ceux qui ont lu la note d'hier peuvent l'oublier en quasi intégralité et n'en retenir que deux points, tels deux coups de pinceau dans mon portrait bloguesque et autobiographique : H. est (un peu, juste ce qu'il faut) matérialiste et il va bientôt être en possession d'une carte de retrait ET de paiement, irréversible pas sur le long chemin de l'autonomie.
Me voila donc en début de terminale et, voyant les emménagements divers de mon entourage j'en suis venu à une modification intense de ma gestion de l'argent. Contrairement à mes compatriotes juvéniles, mon argent n'a jamais été une somme régulière étant donné le bordelisme (d'ailleurs héréditaire) qui traîne dans la famille. Entendons nous bien, je ne suis pas miséreux pour autant. Cependant, me voila plus proche des mes sous que jamais. Chaque somme que je perçois, dont j'entends parler, dont je fantasme est analysée en pouvoir d'achat mobilier. "Tant pour un bon lit" "un armoire" "petit électroménager". Pourquoi cette obsession de mon futur habitat qui dans le meilleur des cas ne sera à meubler (et à trouver...) que dans un an ?
En effet mon objectif -mon rêve ?- est d'intégrer l'IEP de Lille l'an prochain. Bon ça c'est réalisable ou ça l'est pas je suis pas encore formel pour l'instant mais je me bats pour. Au pire (c'est vraiment pas catastrophique) j'intègrerai une prépa IEP. Mon but ? Que faire après ? On me demande souvent, je répondais jusqu'à présent que je savais pas trop. A vrai dire -mais tout ça c'est encore du roman- j'aimerais bien faire de la politique mais ça c'est pas un métier. Autrement, et plus sérieusement je voudrais faire du journalisme (mais, rêves de grandeur oblige je préfère me voir en international).
Voila et en substance je vous laisse le reste de mes fantasmes en vrac : partir à NewYork, ou bien à Paris, ou à bien au Danemark, ou bien aux pays bas, ou bien devenir le maître du monde. Parce qu'on n'a pas le temps d'attendre d'aller fertiliser les chrysanthèmes...
Conclusion : Aucune, si ce n'est vivement que je sois riche.
Autrement en diagonal de ma vie, il parait que j'ai repris les cours, et que les week-ends ne sont vraiment pas très longs...

Libellés : Triste monde tragique

posted by Monsieur H at 18:33 2 comments

samedi, septembre 16

Google Analytics

Tout blog digne de ce nom en passe par là. Ca fait maintenant 3 semaines plus ou moins que je consulte quotidiennement mes statistiques, ce qui me rappelle -mais ne me pousse pas à l'action- que je ne poste vraiment pas assez régulièrement.

C'est intéressant. Je m'internationalise, je m'exporte, je traverse les frontières -pas beaucoup, mais un peu-. Ca m'amuse un peu de savoir qu'à Montreal, à Puerto Rico, au Maroc, en Allemagne et tout un tas de jolis pays on me lit. Mais mieux que tous les pays lointains, j'ai découvert que j'avais un lecteur (ou une lectrice) dans un bled je ne sais où, dont de toute façon et même après avoir fouiné sur Wikipédia nous ne retiendrons que le nom: Tassin-la-demi-Lune.
C'est mignon tout plein je vous l'accorde, mais ça n'a aucun sens. Je vous invite donc à découvrir le Monsieur H. du Docteur Otchoz que vous connaissiez, le triste sire bassement matérialiste, en rupture avec celui que vous avez toujours connu. En effet je vous propose de faire chauffer votre carte bancaire (tiens je vous ai pas dit, je vais bientôt avoir moi aussi une carte, vide hélas donc... :) http://www.amazon.fr/gp/registry/2JNTL49SURJ9B . Ma Wishlist Amazon. Bien sûr pas exhaustive, et bien sûr si voulez me faire les cadeaux from Ebay ou Cdiscount parce que c'est 10€ moins cher je vous taxerai pas de pingrerie, c'est déjà gentil de faire un geste on peut pas tout vous demander... Et maintenant vous le savez j’aime aussi des conneries pour jeunes, et, contrairement aux apparences je ne suis pas plus qu’un humain (ou si peu).

Bon voila, pour conclure, j'ai menti quand je disais que je vous raconterai ma rentrée, je vous ai privé du conventionnel "on m'a trouvé avec ces requêtes google : (...)" parce que les miennes beh elles sont même pas drôles, et à bientôt, je vais essayer d'être plus régulier, et aussi il faut que vous sachiez qu'il est 22h j'ai faim j'ai soif j'ai sommeil (oui d'habitude j'ai pas sommeil à 22h mais là -vous le sauriez si j'avais parlé de ma rentrée- je bosse 6 jours sur 7 -vous me direz c'est rien par rapport aux conditions de travail des mineurs de fond de 15 ans au XIXème siècle, mais je m'éloigne du sujet- et pfiouh, le rythme est dur à prendre) , et c'est ce pourquoi cette note est si confuse. Voila. Ciao, à bientôt... (J'ai peut être même laissé des fautes mais ça je verrai plus tard)

Libellés : blog

posted by Monsieur H at 21:16 3 comments

lundi, septembre 4

La cloche sonne

8h30, mon troisième réveil retentit -j'étais sûr qu'il devait sonner à 7h30-, ça fait maintenant quelques temps que je ne me suis pas levé de si bonne heure. Par la fenêtre entrouverte de ma chambre on entend sonner la cloche de l'école voisine, pareille au glas de leur temps libre. C'est ce vieux relent de terreur infantile remémoré par les cris d'enfants qui me tire du lit.
Pour ma part, le trépas de mes vacances est annoncé à 14heures. Oui, bien sûr ce n'est pas la vraie grande rentrée, une heure et demie à nous expliquer les enjeux de l'année et les emplois du temps, mais malgré tout c'est le grand tremblement, la répétition générale en costume de scène...
Promis, ce soir ou demain je vous raconterai l'événement.

Libellés : Rien ne vaut ma vie, Triste monde tragique

posted by Monsieur H at 10:18 8 comments

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