C'est l'printemps des militants.
Vote du blocus du lycée : 85% pour, dont moi.
Déjà quelques manifs, et je dois dire que le printemps, c'est méga bien... Le soleil brille et les fleurs sont de retour. Dans l'amour de la joie et de la paix, dans la joie de l'amour de la paix, et patati et patata, nous battons le pavé. Un seul mot d'ordre: Cey Nous Qui Décide, du nom d'un fameux syndicat interdépartemental (ayant la prétention de passer à un stade intergalactique d'ici moins d'une semaine) ! Personne ne se démobilisachionnisationne.
Pour se mettre dans l'entrain, une petite chanson que je trouve très belle que j'ai entendue sur le répondeur de Daniel Mermet un mardi je crois bien. Je n'ai trouvé aucune trace sur le net, alors je me suis débrouillé comme j'ai pu:
Dans la foulée, un autre message, si cette jeune fille de la Sorbonne que vous pouvez voir sur la photo voulait bien m'épouser, ce serait avec plaisir:

"Ah Printemps, ah Printemps, je t’aime absolument
Ah Printemps, ah Printemps, dans la colère du temps,
Voici l'envol des fleurs, au matin que débordent
Des nouvelles fraîcheurs des prunus d'émeraude
Et les rouges corolles éclosent dans les tons
Ah printemps ah printemps, je t’aime pleinement
Ah printemps ah printemps, dans la colère du temps
Voici les claires fêtes et les révoltes suaves,
Les herbes qui appellent les étamines frêles
Voici les oies sauvages, d'orient en occident
Ah Printemps, ah Printemps, je t’aime absolument
Ah Printemps, ah Printemps, dans la colère du temps."
Et bon un autre message personnel : Villepin, retire le CPE s'il te plait, je commence à avoir mal aux pieds...
Libellés : Rien ne vaut ma vie, Triste monde tragique