De la dangerosité de rêver

Entre deux insomnies (qui m'ont poussé à regarder hier les rediffusions nocturnes successivement plus belle la vie (mouais mouais...), un reportage en deux parties sur les apprentis restaurateurs/sommeliers (L'école des palaces si je me souviens bien...), aimer vivre en France (qui m'a, je dois l'avouer, transmis un sentiment de fierté patriotique, notamment grace à ce reportage sur cette collection de rince-bouteilles périgourdins...), et la moitié d'un débat sur la santé de J. Chirac) j'ai eu le temps de commettre deux rêves odieux...

-Dans le premier, anodin pour ainsi dire, lors d'une ballade, je m'y faisais écraser par un dirigeable ayant perdu le contrôle de sa trajectoire (mais on ne peut pas lui en vouloir ça doit être dur de piloter un Zeppelin...)...

-Dans le second, davantage effrayant, je me faisait opérer les yeux, ou plutôt les paupières, par un chirurgien émérite à l'allure spécialement réelle, si bien que dés mon réveil il me parut important de ne surtout pas fermer les yeux trop longtemps, de peur que mes paupières restent soudées pour l'éternité... Après avoir repris mes esprits de cette divagation pour le moins extravagante, je me suis rendu compte que j'avais perdu 1/2 heure de ma vie (
et pire: de ma grasse matinée !) à rester, yeux ouverts, à regarder le plafond.

Les plus pressés d'entre vous tireront comme conclusion de ce récit de mes aventures oniriques que je dois m'ennuyer un peu dans ma vie et dans mes nuits. A ceux là je réponds que non puisque j'ai refait la découverte récemment d'une merveille du monde : les tartines de miel (qui ne sont pas innocentes dans le maculage récent d'une substance sucrée et collante à la plupart des meubles et ustensiles de ma chambre)